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DE LA REPULSION CHEZ LES INSECTES - Cas d’étude du moustique Anopheles gambiae et de la mouche blanche Bemisia tabaci -

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dc.contributor.author DELETRE, EMILIE
dc.date.accessioned 2020-06-11T07:46:41Z
dc.date.available 2020-06-11T07:46:41Z
dc.date.issued 2014
dc.identifier.uri http://hdl.handle.net/123456789/1287
dc.description CHECK ATTACHED PDF en_US
dc.description.abstract D’après la FAO, il faudra nourrir 9 milliards de personnes en 2050 ce qui équivaudrait à augmenter de 70% la production actuelle. Une manière simple d’augmenter la production serait de limiter les pertes de rendement et de récolte en luttant contre les insectes. Il faudra donc produire plus mais il faut produire mieux. Les insecticides ont été et sont largement utilisés mais avec l’apparition de résistances, la pollution de l’environnement et l’impact sur la santé nous amène à chercher de nouvelles alternatives de lutte. La FAO a également montré que l’Afrique avait le meilleur potentiel de changement. En effet, le développement du secteur agricole permettrait de lutter contre la faim et la pauvreté. Les insectes ne sont pas qu’un problème pour l’agriculture, ils transmettent également des maladies humaines. La lutte contre les insectes peut donc aussi améliorer la santé. Cette thèse a pour objectif de trouver une solution qui réduit l’utilisation des pesticides qui soit respectueuse de l’environnement et de la santé humaine par l’identification de nouvelles substances actives dans la lutte contre les insectes nuisibles pour la santé humaine et l’agriculture. La solution étudiée ici est une barrière physico-chimique c’est à dire la combinaison entre un filet anti-insecte et un répulsif. Deux insectes modèles importants pour l’afrique ont été choisis pour cette étude : Anopheles gambiae, moustique vecteur du paludisme et Bemisia tabaci, ravageur polyphage vecteur de virus. Ces deux insectes sont donc des suçeurs-piqueurs, vecteurs d’agents pathogènes dont le seuil de tolérance est très faible puisqu’un seul insecte suffit à rendre l’hôte malade. Le filet « répulsif » constituera une double barrière physico-répulsive qui va empêcher le moustique de piquer à travers la moustiquaire et empêcher la mouche blanche de passer à travers le filet. Dans cette introduction, dans un premier temps, l’interaction entre un insecte et son hôte sera présentée. Puis nous présenterons plus en détails l’interaction entre nos insectes modèles et leurs hôtes et leur principal moyen de lutte avant de décrire les différents phéno en_US
dc.description.sponsorship CHECK ATTACHED PDF en_US
dc.publisher De l’école doctorale SIBAGHE en_US
dc.rights Attribution-NonCommercial-ShareAlike 3.0 United States *
dc.rights.uri http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/3.0/us/ *
dc.subject REPULSION en_US
dc.subject moustique en_US
dc.subject blanche Bemisia tabaci en_US
dc.title DE LA REPULSION CHEZ LES INSECTES - Cas d’étude du moustique Anopheles gambiae et de la mouche blanche Bemisia tabaci - en_US
dc.type Thesis en_US


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